Communautaires

Image du logo de l'équipe Les Amazones de Québec

Les Amazones regroupent des femmes de tous les âges depuis 2009. Cette équipe communautaire, qui s’entraîne deux fois par semaine, en est une soudée, qui a du plaisir constamment et où l’on développe de belles amitiés. Pour les Amazones, le bateau-dragon c’est plus qu’un sport, c’est une grande famille qui partage aussi des activités à l’extérieur du bateau telles que des soupers et des 5@7. Pour un bel esprit d’équipe, les Amazones sont là!

Image de l'équipe Les Amazones de Québec en compétition

Image du logo de l'équipe Dragon mom

Créée en 2010, l’équipe des Dragon Mom regroupe des femmes extraordinaires, dont la moyenne d’âge se trouve dans la mi-quarantaine. Fières de leurs exploits au cours des derniers étés, elles savent se dépasser et démontrent un esprit d’équipe hors du commun. Cette camaraderie explique d’ailleurs leur très bon taux de rétention. Bref, essayer l’équipe des Dragon Mom c’est l’adopter!

LES CAPITAINES
Julie Racine et Nancy St-Laurent
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Capitaines depuis la création de l’équipe à l’été 2015

Qu’est-ce que ce rôle vous apporte? La fierté d’avoir créé un groupe de femmes qui aime s’entraîner, se dépasser, s’entraider et dont le sentiment d’appartenance est indéniable. On ne peut également passer sous silence le fait qu’elles sont prêtes à nous suivre dans nos folies, ce qui contribue assurément au formidable esprit d’équipe des Dragon Mom. Bref, c’est vraiment trippant de voir évoluer toute cette belle gang de femmes!

Depuis quand êtes-vous impliquées dans le monde du bateau-dragon? Nous avons commencé à ramer avec les Chipies, en 2014. Nous avons décidé de former notre équipe l’été suivant puisque nous étions à la recherche de rameuses qui aimaient le Fireball autant que nous!

Comment les rameuses de votre équipe vous qualifient-elles? Ce qui nous vient spontanément : énergiques, dynamiques, rassembleuses, authentiques, enjouées, équitables, aimables, déterminées, extraordinaires, charmantes, simples, imaginatives, patientes, douées, attachantes, accueillantes, agréables, dignes de confiance, chaleureuses, charismatiques, généreuses, mignonnes, pétillantes, séduisantes, sociales, volontaires et sympathiques. On ajouterait finalement drôles et modestes!

Quel est votre moment mémorable? Tous nos partys d’équipe sont mémorables! Toutefois, nous garderons pour nous le détail de ces belles rencontres puisque, comme on dit : « ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas! ». Par ailleurs, nous nous souviendrons longtemps de notre trip à Coupe Québec, en 2019, puisque nous en avons surpris plusieurs… incluant nous-mêmes! Ce fut un super beau week-end pour les Dragon Mom, même si cela nous a coûté nos deux tentes d’équipe…

Quel a été votre plus grand défi? Allez récupérer nos deux tentes dans le bassin Olympique, en pleine compétition, après qu’elles se soient envolées à la suite de forts vents… Plutôt malaisant! Il y a aussi eu le défi d’avoir 18 rameuses sur 20 qui n’avaient jamais ramé à notre premier été et de tout de même faire avancer le bateau à l’unisson. Ça peut paraître simple, mais ce n’était vraiment pas évident de trouver un tempo commun. Bref, tout un défi pour un coach… Pauvre Anthony, on partait de très loin! On en a fait du chemin en cinq ans, presque pas croyable!


Image du logo de l'équipe Vise-à-Vie

Les Vise-à-Vie se sont donné comme mission de démontrer qu’il est possible de reprendre une vie active et de pratiquer un sport après avoir vécu un cancer du sein. À Québec, les Vise-à-Vie sont la seule équipe de bateau-dragon composée uniquement de survivantes du cancer du sein. L’équipe, qui a vu le jour à Québec en 2003, est actuellement composée de plus de trente femmes et d’un homme. Nous représentons la région dans les compétitions régionales, nationales et internationales.

LA CAPITAINE
Chantal Lachance
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Capitaine depuis 2015

Qu’est-ce que ce rôle t’apporte? Le bonheur et le sentiment d’accomplir quelque chose qui apporte du bien-être aux autres. Être capitaine des Vise-à-Vie m’apporte aussi la satisfaction de montrer à ces superbes femmes (homme) qu’elles sont fortes et peuvent accomplir ce qu’elles désirent après un cancer du sein.

Qu’est-ce que tu apprécies le plus dans ton rôle de capitaine? De pouvoir faire connaître un super sport, mais surtout de partager ma détermination à accomplir quelque chose de grand et de pouvoir aider et supporter d’autres personnes à se dépasser en équipe.

Depuis quand es-tu impliquée dans le monde du bateau-dragon? Depuis 2011.

Comment les rameuses de ton équipe te qualifient-elles? Passionnée, motivante, qui donne le goût aux autres de se dépasser, organisée et bonne communicatrice (surtout dans le 2 km!)

Quel est ton plus grand défi? Essayer d’avoir une équipe stable tout en accueillant de nouvelles rameuses chaque année et garder la même rigueur. Mais l’autre défi est de faire sentir à mes rameuses (rameur) que nous sommes aussi belles et aussi bonnes que les autres équipes féminines. De leur faire voir que, malgré notre « étiquette », nous pouvons nous dépasser et nous pouvons aussi bien compétitionner contre d’autres équipes féminines et pas seulement contre des équipes de survivantes. En fait, que cette étiquette ne nous définit pas en tant que personne ni en tant que rameuse, que oui nous avons tous le même prérequis qui nous réunit, mais qu’elle ne fait que nous unir encore plus.

Quel serait ton moment mémorable? L’un des grands moments est lorsque nous étions à Florence, en Italie. À la sortie des temps, nous ne pouvions pas en croire nos yeux : notre temps nous permettait d’être dans les cinq premières de la première vague pour la deuxième course de qualification. Après notre deuxième course, nous étions toujours constantes en termes de temps et de technique, ce qui nous a permis, encore là, d’être dans les deux premières vagues de la demi-finale. C’était magique. Nous avons eu le privilège de faire la finale avec l’une des équipes que nous avions toujours vues comme imbattables, soit celle du Vermont. Nous avons eu l’agréable surprise de terminer dans le top 10 sur 127 au final. Nos efforts, notre technique et notre détermination nous ont permis de participer à la cérémonie des survivantes de cancer du sein, toutes dans le même bateau, c’était simplement indescriptible. Il n’y a aucun mot assez fort pour décrire ce sentiment de fierté envers mon équipe et de pouvoir crier haut et fort WE CAN DO IT!


Image du logo de l'équipe des Waverns

L’équipe féminine des Waverns a vu le jour à l’été 2011 et a participé à ses premières compétitions dès l’été suivant. Depuis ce temps, l’équipe n’a cessé de s’améliorer pour finalement remporter, à l’été 2016, la prestigieuse Triple Couronne Division 2 (remise à l’équipe ayant cumulé le plus de points en trois compétitions [H20 Open, Montréal Challenge et Coupe Québec]. En plus d’être performantes et motivées, les Waverns sont dynamiques et elles ont du fun! Que ce soit lors des entraînements, des compétitions ou des 5@7, la bonne entente entre les filles est palpable.

Leur objectif : avoir du plaisir, tout en donnant leur 110 % sur l’eau!

Leur slogan, inspiré de leur coup de rame : « Profond, long, fort, WAVERNS! »

LES CAPITAINES
Marie-Christine Cloutier, Véronique Fleury et Amélie Richard
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Capitaines depuis 2017

Qu’est-ce que ce rôle vous apporte? Nous aimons contribuer, par notre connaissance et notre amour du bateau-dragon, à l’efficience des Waverns. Nous visons à leur transmettre non seulement l’esprit de compétition, mais surtout l’esprit d’équipe, par l’intermédiaire du plaisir. C’est une force des Waverns : une saine ambiance. Toutes les rameuses se respectent et s’apprécient… et ont du fun! En tant que capitaines, on fait en sorte d’accueillir des recrues motivées et sympathiques, d’encourager et d’apprécier nos rameuses d’expérience et de maintenir une bonne entente au sein du groupe. Il s’agit aussi de donner le goût aux filles de vivre des expériences de compétition et, idéalement, le sentiment d’arriver premières au fil d’arrivée! Notre formidable coach Anthony nous aide évidemment beaucoup dans notre rôle.

Depuis quand êtes-vous impliquées dans le monde du bateau-dragon? Marie-Christine : 2012. Une amie lui a suggéré d’essayer, et elle est tombée en amour avec le sport!

Véronique : 2014. Une de ses meilleures amies, Geneviève Adam (dont elle tient à rendre hommage puisqu’elle est décédée cette même année, dans une avalanche au Népal) l’a invitée à un entraînement. Coup de foudre instantané!

Amélie : 2011. Une connaissance avait entendu parler du bateau-dragon et s’était dit : « il me semble que c’est le genre de truc qu’Amélie aimerait. » Et cela s’est avéré!

Comment les rameuses de votre équipe vous qualifient-elles? Marie-Christine : C’est notre gestionnaire, une fille organisée, une trésorière hors pair.

Véronique : C’est notre capitaine diplomate, qui a un petit côté maman.

Amélie : Avec son côté cartésien, elle est très rigoureuse.

Quel a été votre plus grand défi? Nous avons été unanimes sur cette question. La fois où nous avons eu un « beau » problème, c’est-à-dire où nous avons eu trop de rameuses compétentes et motivées pour Trois-Rivières en 2019. Nous avions trois courses et nous avons dû faire des choix. Ce n’était pas juste une considération d’ancienneté ou de force, mais d’équité également. Nous avons opté pour une rotation de rameuses, ce qui impliquait que certaines devaient ramer seulement deux courses. Nous avons été transparentes sur notre dilemme et tout cela a été bien reçu.

Quel serait votre moment mémorable? Marie-Christine : La première place des Waverns au 100 mètres à Shawinigan, en 2012. Cela leur a fait croire qu’elles n’étaient pas si derrière que cela! Cette course a donné le ton pour la suite!

Véronique : Une autre fois, à Drummondville, nous étions trop de gauches. Véro a cédé sa place sur le bateau pour aller « drummer », c’est-à-dire crier sa vie après les filles! « Come on! Allez! Power et un, deux…! Elle a perdu la voix pendant deux jours. Elle voyait la hargne dans les yeux de ses coéquipières, elle était crinquée, tout cela sous une pluie battante. Cette dernière course nous a valu la médaille d’or!

Amélie : La Coupe Québec, en 2016. Elle était “paceuse” avec Sabrina (Plamondon Gosselin), à l’écoute des commandes de Dan (membre fondateur du Club), qui criait d’une façon qui venait te chercher dans les tripes. Malgré l’envie de s’emballer, Sab et Amé ont réussi à maintenir un “pace” efficace et synchro, ce qui a assurément contribué à remporter l’or! Les Waverns ont d’ailleurs remporté la Triple Crown cette année-là.


Sportives

Image du logo de l'équipe Bras de fer

Les Bras de fer sont une équipe sportive mixte, ce qui signifie que nous misons sur une bonne performance lors des entraînements et des compétitions. Toutefois, ce désir ne doit pas miner l’extraordinaire esprit d’équipe qui nous caractérise si bien. Bref, on donne tout ce qu’on a, pas d’excuse… et le fun est toujours au rendez-vous.

LA CAPITAINE
Karen Jacobs
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Capitaine depuis 2019

Qu’est-ce que ce rôle t’apporte? Les Bras, c’est un peu comme ma famille d’été. Je suis contente d’être leur capitaine et de pouvoir les guider, les motiver, leur donner le goût de donner le meilleur d’eux-mêmes, d’évoluer et de grandir tous ensemble.

Depuis quand es-tu impliqué dans le monde du bateau-dragon? J’ai commencé à ramer en 2011. En 2014, je suis devenue capitaine des Amazones. J’ai rejoint le conseil d’administration en 2015 puis suis devenue capitaine des Bras en 2019, d’Origine en 2021 et future coach de la Relève en 2022. La prochaine étape? Bonne question!

Comment les rameurs de ton équipe te qualifient-ils? Il faudrait le leur demander. Je pense qu’ils diraient que je suis une passionnée, remplie d’énergie, qui profite de la vie comme s’il n’y avait pas de lendemain (YOLO) et qui est toujours là pour eux. Les Bras, vous confirmez?

Quel a été ton plus grand défi? Si on oublie qu’on est en pandémie, probablement avoir 20 rameurs à chaque entraînement dans le bateau.

Quel serait ton moment mémorable? À la fin de chaque saison, nous avons les Bras de fer Awards. C’est plus que notre party de fin de saison, c’est aussi le moment où l’on célèbre chacun des membres de l’équipe avec un prix personnalisé. Chaque fois, c’est un événement mémorable, c’est comme un party de famille. Chaque compétition avec les Bras est mémorable en soi aussi puisqu’on se dépasse chaque fois, on apprend et on en sort grandi.


Issue du programme haute performance du Club, Les Lotu est la seule équipe à n’aligner que des femmes en catégorie sport. Les pagayeuses qui composent l’équipe s’entraînent durant l’hiver dans un but commun de performance pour être prêtes à la compétition dès le début de la saison estivale. Les membres de l’équipage doivent se qualifier pour en faire partie : des tests physiques et techniques leur sont donc imposés. Elles peuvent également suivre des cliniques techniques pour améliorer leur coup de pagaie, et participer à des camps d’entraînement au Québec ou aux États-Unis. L’équipe souhaite participer aux compétitions de la Triple Couronne au Québec, au championnat canadien et, selon les années, aux Jeux panaméricains et aux championnats mondiaux par équipe. L’équipe est aussi le tremplin pour celles désirant faire l’équipe nationale de bateau-dragon. Avec la mentalité de se dépasser à chaque pratique, à chaque course, à chaque compétition, l’équipe a bien l’intention de se tailler une place parmi les équipes féminines sport déjà bien établies. Plaisir, sueur, fierté et dépassement seront assurément au rendez-vous.

LES CAPITAINES
Karen Jacobs et Stephanie Poirier
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Capitaines depuis 2022

Réponses de S. Poirier. Pour les réponses de K. Jacobs, voir le bloc ci-dessus (Bras de fer).

Qu’est-ce que ce rôle t’apporte? La satisfaction de donner un coup de main à ma co-capitaine Karen!

Depuis quand es-tu impliquée dans le monde du bateau-dragon? Je pratique le bateau-dragon depuis 2013. Comme la plupart des rameuses, j’ai commencé en communautaire avec le CBDC. De 2017 à 2021, j’ai ramé avec une équipe sport mixte dans un autre club. Ça m’a donné la piqûre pour ce niveau de compétition. Et l’an dernier j’ai fait un retour avec le CBDC dans l’équipe des Lotus.

Quel est ton moment mémorable en bateau-dragon? Les championnats canadiens par équipe de 2019, à Régina. Des conditions particulièrement pas faciles, mais un 200 m épique.

Quel a été ton plus grand défi? Chaque année où j’ai réussi les sélections pour l’équipe sport mixte après des préparations hors-saison plutôt rigoureuses.

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